Ramata
4 : le portrait chinois du roman
Si le Ramata
était une mélodie, ce serait tout d’abord un beau piano qui joue des accords
magnifique très bien placés au bon moment avec un tempo doux, une mélodie
agréable à entendre comme lorsque la beauté de Ramata est décrite avec du
charme et une grande beauté puis une chute avec des violons agressifs derrière
le tempo s’accélère des grosses caisses apparaitraient, pour montrer les deux
faces cachées de Ramata.
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