mardi 2 juin 2015

Portrait chinois de Ramata (Fabian)



Ramata 4 : le portrait chinois du roman
Si le Ramata était une mélodie, ce serait tout d’abord un beau piano qui joue des accords magnifique très bien placés au bon moment avec un tempo doux, une mélodie agréable à entendre comme lorsque la beauté de Ramata est décrite avec du charme et une grande beauté puis une chute avec des violons agressifs derrière le tempo s’accélère des grosses caisses apparaitraient, pour montrer les deux faces cachées de Ramata.

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